…

S’il y en a qui ont un regard plongeant avec le pied sûr, ce sont bien les chamois…

…des falaises calcaires qui ont engendrées à leur tombée moult réseaux…

…entrée de grottes,

…exutoires hydrauliques encore en service…

Des murs à des endroits qui paraissent inaccessibles où pourtant l’homme a posé sa marque…

  

Une marque parfois plus prononcée, c’est le cas du moulin de Charabotte, qui sied au bord de l’Albarine…

…perdu et encaissé, comme protégé du temps par un lieu où prennent naissance toutes les résurgences de l’Albarine…

 

Le ruisseau de la gorge, descendant avec force, arrêté par le calcaire qui se dépose avant de se jeter dans l’Albarine après avoir traversé le village de Chaley.

A une altitude similaire, la plaine alluviale où le futur tracé de l’Albarine prend forme…

En haut des falaises, la neige, avec des mangeoires qui trahissent sans conteste la présence des écureuils…

Les grands corbeaux sont, avec les faucons pèlerins, les maîtres de ces falaises…

…et ont toujours ce regard d’en haut pour ne descendre que rarement nous rendre visite, nous, les gens qui pêchons en bas…