Parcours entre Chaley et Saint-Rambert-en-Bugeycarte de france

Un mandat s’est écoulé…

Un mandat s’est écoulé…

2013-07-29 13.55.03

Le mandat qui se termine en 2015 et entamé en 2009 a permis, grâce à une gestion stricte et cohérente d’investir plus de 240 000 euros. Une somme répartie entre achat de terrain, travaux piscicoles, seuls et /ou en partenariat, travail et suivi du technicien, problématique de l’assainissement, cormorans, gardiennage…, bref une présence quotidienne au bord de l’Albarine.

Ainsi les années se sont découpées comme suit :

∇ 2015 :

  1. Restauration hydromorphologique à Chaley (700 mètres)
  2. Diversifications d’habitats Argis / Tenay (450 mètres)
  3. Diversifications d’habitats dans la retenue hydroélectrique de la Scie à Brun (50 mètres)
  4. Achat de la partie haute de la plaine alluviale de Chaley
  5. Achat des terrains pour les travaux 2016

P1040517

∇ 2014 :

  1. Diversifications d’habitats Pont de la gare à Tenay (750 mètres)
  2. Restauration hydromorphologique à Chaley en amont du pont du camping (150 mètres)
  3. Restauration des vannages à Chaley (bras secondaires)
  4. Remise en état du ruisseau de la Gorge suite aux travaux d’assainissement

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∇2013 :

  1. Restauration hydromorphologique entre St-Rambert et Argis (400 mètres)
  2. Diversifications des habitats pisicoles à Tenay suite au chantier d’assainissement (450 mètres)
  3. Diversifications des habitats piscicoles en aval de Tenay
  4. Achat de terrains à Chaley / Argis

∇2012 :

  1. Achat des terrains nécessaire à la réalisation des travaux 2013
  2. Achat de la déviation d’Argis
  3. Diversifications des habitats en aval de la digue d’Argis (200 mètres)
  4. Diversifications des habitats piscicoles entre Argis et st-Rambert (700 mètres)

∇2011 :

  1. Risbermes / diversifictaions des habitats à St-Rambert
  2. Travaux sur l’enfoncement du lit de la rivière couplés avec les problèmes d’habitats en amont de la confluence avec la Mandorne (250 mètres)

∇2010 :

  1. Restauration de berges à St-Rambert accompagnée par une diversification des habitats piscicoles (150 mètres) à la Pièce et en face de l’Office de tourisme (100 mètres)
  2. Diversifications des habitats piscicoles dans le plat de la Grille à Chaley et camping (100 mètres)

∇2009 :

  1. Diversifications des habitats piscicoles au Pont de Reculafol (300 mètres)
  2. Diversifications des habitats piscicoles au Pont de la Violette
  3. Achat de terrains à St-Rambert

Pour l’ensemble de ces travaux, l’AAPPMA a toujours été omniprésente, décisionnellement, financièrement et techniquement. Ces derniers ont permis à l’Albarine de garantir et d’augmenter son potentiel salmonicole ainsi que la taille moyenne des classes d’âge des poissons. Cela montre bien que l’habitat joue donc un rôle prépondérant jumelé bien sûr avec la qualité d l’eau.

P1050164 Une simple pierre, posée là en juillet 2003, qui cache de nombreux poissons dans 1,20 d’eau, bien creuse, aux abords bien propres, signe d’une effervescence salmonicole loin d’être négligeable.

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Quant l’homme agit pour la rivière, cette dernière n’est pas ingrate, elle le lui rend bien !

4 réponses

  1. je ne comprends pas votre conclusion concernant l’habitat. La phrase est-elle bien logique?

    • albarine

      Phrase modifiée en espềrant qu’elle soit plus explicite. Merci.

  2. et alors rien sur la renouée?

    😉

    • albarine

      La renouée du japon est un travail de tous les jours. L’arrachage en particulier. L’AAPPMA ayant fait largement sa part dans cette lutte sans merci pendant des années, des actions d’arrachage ont été programmées sur des secteurs bien choisis avec le syndicat de l’Albarine. Par ailleurs les travaux réalisés inclus systématiquement cette problématique qui, d’ailleurs, coûte de l’argent.Un exemple parmi d’autres, l’aval du pont de la Violette où l’enrochement qui empêchait la rivière de “s’épanouir” et qui était totalement envahi par la renouée a fait l’objet d’un traitement spécial.
      Pour nous il est tellement ancré dans nos programmations de travaux que l’on en oublie d’en parler, il est vrai. C’est un travail de longue haleine et il est pour nous impossible de passer à côté. La revégétalisation sur les parties travaillées de la rivière n’est pas un hasard.
      D’ailleurs il n’est pas interdit à chaque pêcheur d’en arracher un peu en passant…

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